Simplement, dans la dernière partie de son étude sur la
gnose, il étudie les relations possibles entre le gnosticisme historique et la
franc-maçonnerie. Il incline à répondre positivement, tout en restant dans
une prudente expectative (tous les verbes de cette partie sont au conditionnel)
et en reconnaissant que « le gnosticisme qui s'abrita derrière les symboles de
la corporation des ouvriers maçons (...) fut un gnosticisme très adultéré »
(Les infiltrations maçonniques dans l'Église, Desclée, 1910, p. 107).
Il est donc impossible d'assimiler sérieusement l'étude de
l'abbé Barbier, qui range parmi les erreurs du « nouveau spiritualisme » la
gnose moderne (celle de Jules Doinel, de Fabre des Essarts, de Bricaud, du jeune
Guenon consacré « évêque gnostique » sous le nom de Palingenesius), à la
thèse spécifique des Cahiers Barruel et de Monsieur Couvert, qui
regroupe toutes les erreurs en une « gnose » indéfiniment plastique et
malléable.