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La paille et le sycomore

Avertissement de l'éditeur 

Prologue

Le silence du Magistère

Les apologistes de M. Couvert

E. Couvert contre les papes 

L'impossibilité intellectuelle

L'argument de prescription

Des erreurs graves

Des questions troublantes

D'où viennent tant d'erreurs ?

"Paul Sernine répond à ses lecteurs" - Ed. Zébu, 2004

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Gnose et franc-maçonnerie

Simplement, dans la dernière partie de son étude sur la gnose, il étudie les relations possibles entre le gnosticisme historique et la franc-maçonnerie. Il incline à répondre positivement, tout en restant dans une prudente expectative (tous les verbes de cette partie sont au conditionnel) et en reconnaissant que « le gnosticisme qui s'abrita derrière les symboles de la corporation des ouvriers maçons (...) fut un gnosticisme très adultéré » (Les infiltrations maçonniques dans l'Église, Desclée, 1910, p. 107).

Il est donc impossible d'assimiler sérieusement l'étude de l'abbé Barbier, qui range parmi les erreurs du « nouveau spiritualisme » la gnose moderne (celle de Jules Doinel, de Fabre des Essarts, de Bricaud, du jeune Guenon consacré « évêque gnostique » sous le nom de Palingenesius), à la thèse spécifique des Cahiers Barruel et de Monsieur Couvert, qui regroupe toutes les erreurs en une « gnose » indéfiniment plastique et malléable.

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